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Mission lutin pour Noël

La pandémie à COVID-19 teste notre capacité d’adaptation comme jamais, et ce, même au temps des fêtes. Il est clair que Noël sera différent cette année. Auparavant, nous invitions rarement la Santé publique à guider nos festivités! Le cadre imposé pour les festivités de 2020 soulève des émotions variées chez les individus : stress, perte de contrôle, tristesse, ambivalence, inquiétude, soulagement, joie, etc. Comment composer avec ce cadre, comment profiter de cette période de l’année afin de ressentir du bien-être? La réponse, imitez les lutins! Oui, oui, vous avez bien lu, imitez les lutins!

 

Avez-vous de la génétique de lutin en vous? Avez-vous cette capacité de voir au-delà de l’événement ou de l’objet pour vous amuser, d’utiliser un objet à une autre fonction que celle pour laquelle il a été créé, de cultiver l’esprit de communauté, de faire ce qui vous fait du bien ou ce qui vous rend heureux et d’aimer faire rire par vos cabrioles? Avez-vous des points en commun avec ces petits êtres féériques qui s’invitent chez nous à Noël?

 

En effet, les lutins ont cette capacité de voir au-delà de l’événement ou de l’objet pour s’amuser. La pandémie a désorganisé notre période des fêtes. Il est normal que nous sentions que nous avons perdu nos repères habituels de planification, d’organisation et de tenue des festivités. Nous devrons faire le deuil de nos traditions si chères à Noël. Mais tout comme les lutins, nous pouvons en profiter pour en établir de nouvelles. Nous devrons donc choisir de célébrer à l’intérieur du cadre donné par la Santé publique et oser planifier des activités permises que nous n’avions pas l’habitude de faire. Se renouveler n’est pas toujours inintéressant! À nous de saisir cette opportunité!

 

Aussi, les lutins utilisent souvent les objets à une autre fonction que celle pour laquelle ils ont été créés. Nous pouvons également nous questionner sur comment nous pourrions mettre à profit ce qui nous entoure pour célébrer Noël de façon plaisante. Pourquoi ne pas utiliser la nourriture pour faire plaisir à un proche? Cuisiner la tarte préférée de Gérard ou les biscuits de Johanne ou… et se rendre chez ces personnes pour leur livrer. Il pourrait être possible de discuter à l’extérieur, à deux mètres quelque instant et avoir ainsi le bonheur d’être en leur présence. Pourquoi ne pas utiliser l’ordinateur, la tablette ou le cellulaire pour se convier à un repas de Noël ou à un Nouvel An mémorable? Nous revêtons nos plus beaux atours et nous nous branchons en vidéoconférence pour partager un souper ou faire le décompte de la nouvelle année. Pourquoi ne pas faire du masque une belle décoration en lui ajoutant des pompons, des dessins représentant Noël pour se mettre dans l’ambiance des fêtes? Bref, il est possible d’utiliser notre créativité pour se réinventer.

 

Les lutins ont un formidable esprit de communauté qui pourrait nous inspirer. La durée de la pandémie et tous les sacrifices qu’elle exige fait en sorte que nous pourrions être tenté par moment de nous comporter comme des enfants gâtés qui revendiquent le droit à notre souper de Noël à plusieurs convives, à notre voyage en famille, à nos fêtes du Nouvel An, etc. C’est normal d’en avoir ras le bol de toutes les contraintes, mais comme les lutins, la plupart d’entre nous finissent par penser à l’impact de nos comportements et de nos décisions puis nous revenons à un équilibre permettant la sécurité et le respect des personnes de la communauté. Les consignes de la Santé publique ne peuvent pas être vécues par tous de la même façon puisque nous ne sommes pas tous égaux vis-à-vis elles : nous avons un état de santé différent, des risques différents, des inquiétudes et des peurs différentes amenant inévitablement des choix différents (ex., choisir de ne pas se rendre à un rassemblement). Plus que jamais, nous devrons faire preuve de respect, de bienveillance et d’indulgence à l’égard des gens de la communauté face aux choix qu’ils feront dans la latitude du cadre imposé par la Santé publique. Nous pouvons également contribuer au bonheur de la communauté en décorant à l’extérieur pour Noël. Une étude de Werner et ses collaborateurs (1989) montrent que les gens qui décorent tôt à Noël sont plus amicaux, plus ouverts et plus sociables que ceux qui ne le font pas. En décorant, vous pouvez contribuer à mettre des sourires sur le visage des passants. Une autre façon de contribuer à la communauté est de distribuer votre budget des fêtes autrement cette année en faisant parvenir des présents à leur résidence aux gens que vous ne pourrez pas rencontrer à Noël ou encore en faisant un don de charité à des causes qui vous tiennent à cœur.

 

Les lutins ont également la sagesse de faire attention à eux et à leur bien-être. Tout comme eux, nous pouvons prendre le temps de nous offrir un cadeau à nous de nous. La pandémie nous place face à des contraintes importantes de rassemblement, activité importante dans le temps des fêtes. Elles nous imposent des choix déchirants. Il devient important de s’accorder une période de réflexion afin de faire des choix qui nous conviendront vraiment. Posons-nous les questions suivantes : qu’est-ce que j’ai le plus envie ou qui me ferait le plus plaisir? De quoi ai-je le plus besoin? Qu’est-ce qui me stresse le plus ou m’inquiète le plus? Avec qui ai-je le plus envie de célébrer si je souhaite le faire? De plus, plusieurs petites attentions peuvent contribuer à rendre le temps des fêtes agréable : visionner nos films préférés de Noël, écouter notre musique favorite du temps des fêtes, pratiquer des activités que nous affectionnons, etc. Il est aussi possible de convertir ce qui nous manque de cette période des Fêtes en anticipation les prochaines périodes des fêtes post-pandémie. Il est bien de nous rappeler que les vaccins sont tout proche et que bientôt, la pandémie sera derrière nous. Cela nous aide à demeurer positifs.

 

Évidemment, les lutins aiment bien faire toute sorte de cabrioles pour mettre un peu de bonheur dans le cœur des gens qu’ils aiment. Nous pouvons les imiter même en ce temps de pandémie en nous questionnant sur ce que les gens que nous aimons ont envie, ont besoin, leur feraient plaisir? Nous pouvons nous demander comment nous pouvons être présents pour eux tout en respectant les consignes de la Santé publique. Plusieurs moyens sont envisageables : écrire de belles cartes de Noël (papier ou virtuelle), leur envoyer une belle boule de Noël avec un gentil petit mot, leur faire parvenir des photos, planifier des vidéoconférences avec eux, etc.

 

Certes, il faudra être imaginatif pendant la période des Fêtes 2020, mais la limite de notre créativité est celle que nous nous imposons. À nous de décider, si nous trinquons ce Noël avec un verre à moitié vide ou à moitié plein. Et surtout, n’oubliez jamais que même un verre à moitié vide peut être positif… si nous nous rappelons que la moitié bue nous a procuré du bonheur!

 

 

Joyeuses Fêtes à tous!

Le Centre collégial d’expertise en gérontologie (CCEG | CCTT) du Cégep de Drummondville, en partenariat avec la Résidence du Haut Richelieu Inc., a obtenu une subvention d’engagement partenarial du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH), d’une valeur de 25 000 $, pour la réalisation de la recherche-action Favoriser le développement de la spiritualité des aînés dans les résidences privées (RPA) et leur communauté. Ajoutons que le projet fait suite à une demande de la Coopérative Soins et Sérénité, qui développera, d’ici peu, un quartier intergénérationnel pour les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer à Saint-Jean-sur-le Richelieu.

« Le désir de donner un sens spirituel à la vie s’accentue avec l’avancée en âge, notamment lorsque la personne est confrontée à la souffrance, à la solitude et à la maladie. Cette réalité est davantage remarquée parmi les personnes hospitalisées et hébergées », remarque la directrice du CCEG, Mme Nathalie Mercier. C’est donc à travers un nouveau partenariat avec la Résidence du Haut Richelieu Inc. que le Centre collégial d’expertise en gérontologie drummondvillois réalisera cette recherche.

La spiritualité a un sens plus large et une dimension plus profonde que la religion. Elle est inhérente à chaque être humain. Elle réfère aux aspects subjectifs, liés à la vie intérieure et aux notions de quête de sens, de valeurs fondamentales, d’identité profonde et d’ouverture à la transcendance.

Cette recherche-action contribuera à une meilleure connaissance des besoins spirituels des aînés et des initiatives favorisant le développement de leur spiritualité, à une amélioration des pratiques, ainsi qu’au renforcement du développement de la spiritualité des aînés dans leur RPA et leur communauté. « Plusieurs retombées sont attendues pour les aînés : une meilleure santé physique et mentale, une qualité de vie, un sens à la vie, un sentiment de bien-être », mentionne Mme Marie-Ève Bédard, Ph. D., chercheure et conseillère pédagogique à la recherche.

Des activités de transfert et de mobilisation des connaissances, tant provinciales qu’internationales, seront réalisées par le CCEG durant et à la suite de ce projet pour maximiser le nombre de Canadiens et de RPA pouvant en bénéficier.

Un début d’incendie s’est déclaré vers 19 h 30 au Cégep de Drummondville jeudi soir. L’intervention rapide d’une trentaine de pompiers a permis de maîtriser l’incident rapidement. Par mesure de prévention, toutes les activités d’accueil des nouveaux étudiants prévues ce vendredi 21 août sont suspendues, de même que les activités régulières du collège. Nous demandons aux étudiants et aux membres du personnel de ne pas se présenter au cégep vendredi. Les activités reprendront lundi matin. L’heure est déjà au nettoyage. Les dégâts, causés principalement par la suie et la fumée, se limitent au secteur de la bibliothèque. Une compagnie spécialisée en nettoyage après sinistre est déjà sur place dès ce soir. Heureusement, on ne compte aucun blessé.

C’est à la séance tenue plus tôt en soirée que le conseil d’administration a accepté l’annonce du départ de madame Brigitte Bourdages, directrice générale du Cégep de Drummondville. Après 25 ans à œuvrer en Éducation avec cœur et passion, elle cessera d’occuper ses fonctions de directrice générale le 18 avril 2021. Elle a pris cette décision après une longue réflexion. À l’aube d’un nouveau Plan stratégique de développement et de réussite, elle a décidé de laisser le privilège à une autre personne de présider aux destinées du Cégep.

Monsieur Dave Fillion, président du conseil d’administration, a tenu à souligner la contribution exceptionnelle de Mme Bourdages au développement du Cégep :

« Madame Bourdages est entrée en fonction au Cégep en avril 2011. Au terme de cette année, elle aura été à la barre du Cégep durant dix belles années au cours desquelles ce dernier s’est déployé de manière magistrale.

Notre Cégep est un Cégep en santé et innovateur qui mise sur la réussite. Durant ces années, son déploiement a eu un impact important sur nos jeunes et nos adultes, mais aussi dans notre milieu. Je pense aux 500 étudiantes et étudiants de plus, à la qualité de nos services et de nos mesures d’aide, aux 5 nouveaux programmes de diplôme d’études collégial (DEC), aux 16 millions de dollars d’investissements en infrastructure, construction et rénovation (la Bibliothèque, les deux gymnases, la salle de spectacle, l’Espace-galerie…)… je pense aussi au CNIMI (Centre national intégré du manufacturier intelligent), au CCEG-CCTT (Centre de recherche spécialisé en gérontologie), aux Productions artscène, INC., le CPE La Ribambelle, etc. ».

Le temps est venu pour d’autres projets et un autre rythme

De son côté, Mme Bourdages se dit sereine avec sa décision : « J’aime toujours ce que je fais. La motivation est encore bien présente et c’est un réel plaisir pour moi de côtoyer les gens au quotidien. Mais il est temps de tirer ma révérence, même si cela est difficile. Lorsque je fais le bilan de ces années passées à la direction du Cégep de Drummondville, j’ai été heureuse et ce dont je suis le plus fière, c’est l’esprit d’innovation et de partenariat avec notre milieu, la dimension humaine et l’engagement dont le personnel du Cégep fait preuve dans la réalisation de notre mission de formation auprès des milliers de jeunes et adultes qui fréquentent notre Cégep. »

Un processus de remplacement rigoureux

Un comité, formé de six administrateurs du conseil d’administration, entamera un rigoureux processus de remplacement de la direction générale en lançant un appel de candidatures dès cet automne. D’ici son départ, Mme Bourdages assurera toutes les fonctions de la direction générale et préparera la transition avec la personne qui lui succèdera.

Nous lui souhaitons une belle transition vers sa nouvelle vie !

Le Centre collégial d’expertise en gérontologie (CCEG | CCTT) du Cégep de Drummondville, en collaboration avec les Résidences Pelletier, obtient une subvention de 50 000 $ du Secrétariat à la jeunesse du Québec pour la réalisation d’une recherche-action d’un an, ayant pour objectif de favoriser les liens et la cohabitation intergénérationnelle dans les résidences pour aînés (RPA). Ensemble, ils élaboreront le premier modèle de cohabitation intergénérationnelle en RPA au Québec s’appuyant sur des données probantes.

Ni à Drummondville ni au Centre-du-Québec, il n’existe de projet de cohabitation intergénérationnelle en RPA. Bien que cette possibilité puisse être offerte à des étudiants dans d’autres régions, ces autres initiatives de cohabitation intergénérationnelle n’ont toutefois pas encore été documentées et évaluées rigoureusement.

Trois des Résidences Pelletier (Centre d’hébergement St-Joseph, Jardins de la Cité et Centre d’hébergement Nicolet) offriront, chacune, pour une période de 12 mois, un hébergement complet (studio) et au minimum un repas par jour à un étudiant en échange de 40 heures d’implication mensuelles de leur part, ce qui contribuera assurément à leur persévérance et à leur réussite scolaire.

Tout en considérant le contexte actuel, des étudiants du Cégep de Drummondville seront recrutés et sélectionnés ce printemps dans l’objectif de débuter la cohabitation dès l’automne 2021. « Les projets collaboratifs proposés par le Centre collégial d’expertise en gérontologie représentent de nombreux avantages pédagogiques. Grâce à cette initiative extrêmement porteuse du CCEG, nous serons en mesure de permettre une expérience intergénérationnelle très formatrice pour nos étudiants », mentionne Mario Carrier, directeur à la Direction des études au Cégep de Drummondville.

La cohabitation intergénérationnelle dans une RPA est complémentaire à l’offre actuelle d’hébergement pour étudiants (résidences étudiantes, chambre ou logement), sinon un plus par rapport à elle. « Les étudiants seront à même de mieux saisir les réalités plurielles des personnes aînées et des RPA. Ils pourront créer une relation significative avec des résidents, apprendre des uns et des autres et, ainsi, réduire le fossé générationnel qui les sépare. Cette expérience leur sera profitable toute leur vie », souligne Julie Castonguay, chercheure au CCEG | CCTT.

Il est souhaité que, à la suite de la réalisation de ce projet, les RPA participantes soient suffisamment outillées pour poursuivre la cohabitation intergénérationnelle, de même que d’autres RPA de la région du Centre-du-Québec ou du Québec. L’objectif est donc de reconduire cette initiative et de la rendre autonome afin que d’autres étudiants puissent profiter de cette expérience enrichissante.

Le Centre collégial d’expertise en gérontologie (CCEG-CCTT) du Cégep de Drummondville a obtenu en 2019 une subvention de 202 995 $ du programme d’aide à la recherche et au transfert (PART) du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur pour réaliser un projet de recherche sur l’attachement chez les couples aînés dans un contexte de proche aidance.

Cette étude a pour objectifs de :

– Constituer une trousse d’intervention regroupant des pistes d’intervention spécifiques aux besoins des proches aidants en couple afin d’outiller les intervenants accompagnants ceux-ci;

– Approfondir l’impact du lien d’attachement amoureux des partenaires aînés vivant en contexte de proche aidance plus spécifiquement les conséquences émotionnelles et relationnelles qu’elle génère.

Pour y parvenir, les chercheurs ont besoin de recueillir un échantillon de 220 proches aidants soutenant leur conjoint malade ou en perte d’autonomie. Les participants devront compléter plusieurs questionnaires portant sur des dimensions personnelles (détresse psychologique), relationnelles (soutien conjugal, satisfaction conjugale, satisfaction sexuelle) et affectives (dimensions et style de l’attachement). Les participants doivent être âgés de 50 ans ou plus, aider présentement un conjoint souffrant d’une maladie ou étant en perte d’autonomie physique ou cognitive. De plus, ils doivent être en couple depuis plus de 5 ans. Il n’est pas obligatoire que le couple demeure ensemble pour pouvoir y participer.

Vous êtes un proche aidant et vous souhaitez nous aider à créer un outil d’intervention spécifique aux couples proches aidants :

  • Vous pouvez le faire en remplissant le formulaire en ligne à l’adresse suivante https://gle/VDeD4dJPWnGHUz8P6 ;
  • Vous pouvez communiquer avec Carmen Lemelin par courriel au lemelin@cegepdrummond.ca ou par téléphone au 819-4878-4671, poste 5434 pour obtenir la version papier du questionnaire.









Sa directrice y a présenté un atelier sur l’innovation sociale au collégial

La directrice du Centre collégial d’expertise en gérontologie (CCEG) du Cégep de Drummondville, Nathalie Mercier, a présenté un atelier dans le cadre du congrès 2019 de Collèges et instituts Canada (CICan), en collaboration avec deux autres centres collégiaux de transfert de technologie (CCTT) en pratiques sociales novatrices (PSN).

En effet, Mme Mercier était accompagnée, les 6 et 7 mai dernier, par la directrice d’Écobes, Nadine Arbour, et par Esteban Figuera, chercheur au Centre d’initiation à la recherche et d’aide au développement durable. Leur propos, intitulé «L’innovation sociale au collégial : une approche incontournable en contexte d’inclusion», a permis de témoigner des retombées positives en innovation auprès non seulement de la communauté collégiale, mais également des organisations et de la population.

En présentant des résultats de recherche, la directrice du CCEG et ses collègues ont souligné l’importance de soutenir les acteurs de l’innovation sociale et de l’éducation afin de favoriser le rapprochement entre les besoins de la société et l’apport de la recherche en sciences humaines et sociales dans la réussite éducative.

Pour le CCEG, cette présence à Niagara Falls a permis de développer de nouveaux partenariats tout en faisant montre de son expertise dans le domaine de la gérontologie et du vieillissement.

«Participer à l’animation d’un atelier, c’est une opportunité extraordinaire pour démontrer l’expertise de notre équipe, de notre Centre, et faire connaître les projets porteurs qui nous animent. C’est également un milieu de réseautage stimulant qui permet de créer des partenariats prometteurs pour d’autres projets, en collaboration avec des collèges canadiens», a-t-elle souligné.

Rappelons que le congrès annuel de CICan est le plus important événement de ce genre au Canada. L’activité regroupe des dirigeants du secteur postsecondaire de tout le pays, en plus de nombreux partenaires internationaux.